Quand deux grands virtuoses se rencontrent enfin (p.v. Salieri)

Tous les parents disent à leur enfant qu'ils sont unique. Ils voient ces derniers comme leur plus grande richesse. Parfois, les parents se rendent compte que leurs enfants possèdent un don. Ils décident alors de les mettre sur un pied d'estale et de les faire admirer par tout le monde. On leur fait des compliments en leur disant qu'on a jamais vu pareil enfant. Ce qui n'aident pas forcément leur égot. Mais le problème avec ces enfants, c'est qu'on ne leur demandent pas leur avis sur leur avenir. On leur impose sans savoir si ça va leur convenir ou non... Certains en souffrent toute leur vie et d'autre s'y adaptent sans la moindre difficulté. Ce fut le cas pour Wolfgang. On jugea qu'il avait un immense talent pour la musique. Dès son plus jeune âge, on le mit au travail. Mais comme tous les petits garçons, Wolfgang avait parfois envie d'aller jouer dehors avec ses petits camarades, mais son père ne l'entendait pas de cette oreille. La musique était prioritaire... Wolfgang donna son premier concert à l'âge de 6 ans et coninua la musique sous l'oeil attentif de son père.

On ne cessait de répéter à Wolfgang que son génie était unique et qu'il était un enfant prodige. Mais notre petit compositeur grandit et eu envie de voir plus loin dans l'avenir. Il voulait faire connaître sa musique au monde entier. Il crut pendant encore un bon moment qu'il était unique, mais il se trompa. Il rencontra Antonio Salieri. Jamais Wolfgang n'avait entendu d'aussi beaux morceaux, jamais il n'avait vu pareil talent, à part le sien.Mais on ne put pas vraiment dire que leur première rencontre laissa à Wolfgang un excellent souvenir... Antonio parit en plein milieu de la repréentation avec Nannerl. Wolfgang en fut blessé.Ce fut la première et dernière fois qu'il entendit parler d'Antonio. Il lui avait écrit une lettre qu'il avait donné à la Cavaliéri afin qu'elle le lui remette. Mais peut être que cette dernière ne l'avait pas fait. Car Wolfgang n'avait jamais obtenu de réponses. Et puis, il y avait eu Aloysia. Wolfgang était tombé fou amoureux de cette jeune cantatrice avec qui il voulait passer le reste de sa vie. Il attendait le bon moment pour la demander en mariage.Mais il savait que son père ne serait pas heureux à cette idée. Il ferait tout pour le faire changer d'avis et lui montrer qu'Aloysia à pleins de qualités.Mais pour ça, Wolfgang devait préparer le terrain. Trouver du travail et un appartement faisait parti de ses priorités. Et il était certains qu'il rouverait tout ça à Vienne. Il sentait qu'il allait avoir de l'avenir la-bas.

Mais Wolfgang était lassé de rencontrer des gens qui nétaient pas aussi passionné de musique que lui. C'est pourquoi, un matin, il décida de se rendre chez Antonio Salieri. Il savait qu'en se rendant chez lui, il aurait peut être un peu plus de chances de se faire recevoir. Il prit une où deux partitions qu'il mit dans sa sacoche. Il venait tout juste de terminer son cour et jeta presque son élève dehors en lui expliquant qu'il avait une course importante à faire. Il ne mit pas longtemps pour arriver sur le palier de Salieri. Du clavecin se faisait entendre de derrière la porte. Wolfgang sourit et écouta un instant. Il avait un style que Wolfgang aimait beaucoup. Mais il allait être obligé de l'interrompre s'il ne voulait pas passer sa journée sur le palier. Il frappa et attendit.

hj Pourrais je avoir une réponse un jour?

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